Chaque épisode est meilleur que le précédent, la qualité d'écriture sitcomesque est vraiment phénoménale, tout le build up de la première partie de l'épisode est sublimé lors du dîner, chaque personnage héritant de son moment pour briller (tout le quiproquo sur la psy, Patrick et sa coiffure, la défense du film porno comme un film d'auteur, la crise finale de Steve...)

Koss a déjà fait le rapprochement, mais plus que Friends, c'est bien de Coupling qu'HIMYM semble s'être inspirée dans sa dynamique de groupe.

Je n'irais pas jusqu'à 17 ou 18, malgré l'excellence des dialogues ou du rythme absolument dingue au sein de l'épisode, ou encore les nombres de sujets et de blagues évoqués en seulement 29 minutes (et une scène post-gé absolument magnifique).

Tout simplement parce que, même si c'est les années 2000, le point de vue quelque peu moralisateur sur le porno m'a un peu dérangé.

Mais ça c'est juste du personnel et ça n'entrave pas du tout le plaisir que j'ai eu à regarder cet épisode et le plaisir que je prends devant cette série !

C'est du pur théâtre filmé. Il y a un rire toutes les 3 minutes (et j'ai compté). Et c'est totalement jouissif. De la très (vraiment très) bonne sitcom.

Un enchaînement de dingue. Le comique de situation, les conflits sont parfaits, et l'introduction de la psy au milieu de toutes les histoires croisées (et de Jane en élément perturbateur) en font l'un des épisodes dont on se rappelle.